Le CSA a été saisi de la diffusion sur C8, dans l’émission Touche pas à mon poste du 5 octobre 2020, de propos tenus par une chroniqueuse.
En l’espèce, le Conseil a constaté le caractère inapproprié des propos en cause. Toutefois, il a relevé que l’animateur avait rapidement réagi afin de les condamner et de rappeler la nécessité de protéger la liberté d’expression.
Dans ces conditions, le Conseil n’a pas identifié de manquement de la chaîne à ses obligations. Il n’est donc pas intervenu auprès d’elle.
Enfin, le Conseil a informé les plaignants qu’il n’était pas compétent pour se prononcer sur le caractère délictuel, le cas échéant, de propos tenus à l’antenne, dont l’appréciation relève de la seule autorité judiciaire.